Aujourd’hui, je vais te parler de quelque chose d’énorme qui pourrait bien être le seul obstacle entre toi et ta réussite.
Tu les connais ces petites voix dans ta tête ? Celles qui te susurrent que tu n’y arriveras jamais, que ce n’est pas le bon moment, que tu n’es pas assez ci ou assez ça. Tu les entends ? Ce sont des croyances limitantes.
1. La peur de l’échec : “Echouer, c’est le premier pas vers la victoire”.
La peur de l’échec, ce grand classique. Imagine si chaque chef cuisinier abandonnait à la première recette qui ne prend pas. Pour mieux comprendre la peur de l’échec et l’affronter, il est intéressant de s’attarder sur les causes. Un échec scolaire passé qui s’est soldé par une punition, une faible estime de soi due à des remarques blessantes qui t’ont fait te sentir rabaissé, humilié, etc. Les exemples sont légion.
Alors tu te demandes sûrement comment pallier à cette peur ?
En travaillant sur les mécanismes de ton comportement dans une démarche de développement personnel.
Ici, l’objectif est de retrouver assez de confiance en toi afin de pouvoir lâcher prise lorsque tu t’exposes au risque de l’échec.
Tu peux par exemple :
- Ecouter des séances d’hypnose de renforcement positif qui t’aideront à améliorer l’estime de soi.
- Apprendre à considérer l’échec autrement qu’une fin mais plutôt comme un apprentissage.
- Prendre conscience qu’un échec ne te définis pas, que l’échec ce n’est pas toi.
Comprends que tu as le pouvoir de surmonter cette peur en travaillant sur tes mécanismes.
2. Le syndrome de l’imposteur : « Tu n’es pas une fraude, tu es Unique »
Aaaaah, le syndrome de l’imposteur, ce petit truc qui te dit qu’un jour tu seras démasqué car ils finiront par se rendre compte que tu n’es pas à la hauteur.
Ce phénomène psychologique est bien plus courant que tu ne le penses et touche autant de juniors que de seniors.
Voici quelques critères permettant d’identifier si tu souffres du syndrome de l’imposteur :
- tu rejettes les retours ou remarques positives
- tu sous-estimes tes compétences
- tu te sens stressé.e, fatigué.e, anxieux.se
Est-ce que tu te reconnais dans ces critères ? Si oui, voici quelques pistes pour t’aider à diminuer ce syndrome :
- crée un tableau de tes réussites (reconnais tes accomplissements positifs)
- cesse de ne reconnaître ta propre valeur que dans le regard des autres
- parle-toi avec bienveillance et considération
- apprends à reconnaître tes qualités pour mieux accepter tes talents
Tu sais tout le monde a des moments de doute. Tu as tes propres compétences, tes propres idées, ta façon à toi de voir le monde. Alors cesse de te dénigrer et croire que tu n’es pas “assez”.
3. La pensée négative : « Regarder sous un autre angle, ça change une vie »
La pensée négative, c’est comme une fréquence qui vient parasiter ta radio mentale. Et tu as le pouvoir de changer de station. Apprends à regarder les situations qui se présentent à toi sous un autre angle. Imagine que tu déplies une carte routière pour découvrir de nouveaux chemins. Changer de perspective, c’est là que réside le pouvoir de la métamorphose. Les pensées sombres peuvent prendre une tout autre couleur lorsque tu les examines sous un autre angle.
Plus concrètement, pour te débarrasser de tes pensées négatives, tu peux :
- observer tes pensées sans les juger ni t’y accrocher
- utiliser un langage positif
- réfléchir à ce qui contribue aux pensées et sentiments négatifs
- faire de l’activité physique pour mettre de côté le mental
4. L’obsession de la perfection : « La magie opère dans l’imperfection »
Ce poids qui te dit que tout doit être parfait dès le départ. Non, non, non. La magie opère dans l’imperfection. Imagine si Picasso avait dessiné tous ses tableaux comme des portraits classiques, on serait passé à côté de fameux chefs-d’œuvre, non ? Alors même si les choses te semblent nulles, inabouties, sans queue ni tête, lance-toi !
Quelques clés pour combattre cette obsession :
- apprendre à accepter ses propres imperfections et ne plus considérer l’erreur comme étant quelque chose de négatif
- classer ses tâches par ordre de priorité (du plus important au moins important et t’autoriser à moins te donner pour les tâches non prioritaires)
- mettre l’accent sur l’expérimentation et le plaisir (pour t’empêcher de vouloir tout contrôler, sois spontané dans tes actions, lâche prise pour prendre plus de plaisir à accomplir tes tâches)
5. Le succès est réservé aux autres : « Tu es ton propre héros »
La tendance à croire que le succès est réservé aux autres, vraiment ? Les succès des autres ne diminuent en rien les opportunités qui t’attendent. Chacun écrit sa propre histoire. Alors, deviens l’auteur de la tienne.
Voilà, c’était la séance de démolition croyances limitantes. Ces dernières auront beau essayer de te freiner, tu es plus fort.e que ça. L’échec, l’imposture, la pensée négative, l’obsession de la perfection, la croyance que le succès est réservé aux autres, à la poubelle ! Déconstruis une à une ces barrières mentales, ces parasites qui te retiennent, et construis ton propre succès. La route sera sans doute sinueuse mais c’est là que réside la beauté de l’aventure, n’est-ce pas ?